Offre immobilière
210 000 m2 de bureaux livrés depuis 2010 et 155 000 m2 engagés d’ici 2023 : la Part-Dieu s’affirme comme un quartier tertiaire de tout premier ordre en France et en Europe.

Trois types de produits disponibles
Vous désirez vous implanter sur le quartier ? Vous avez le choix entre le « parc modulable accessible », le parc de seconde main récent (+ les réhabilitations) et le parc tertiaire neuf.
Le « parc modulable accessible »
- Offre : des immeubles d’anciennes générations très flexibles (Tour Part-Dieu, Britannia…)
- Combien : un coût très compétitif, autour de 150 euros/m²
Le parc de seconde main récent et les réhabilitations
- Offre : des adresses et immeubles reconnus (Lugdunum, Green Part-Dieu…) avec disponibilités de grandes tailles au gré des mouvements des entreprises
- Combien : des loyers entre 190 et 270 euros/m² ht
Le parc tertiaire neuf
- Offre : des immeubles IGH ou non IGH de dernière génération incluant de nombreuses prestations de services (Silex², Sky56, To-Lyon…).
- Combien : des loyers de 260 à 340 euros /m²
98 % de remplissage
Le quartier de la Part-Dieu occupe la 15e place des métropoles européennes en termes de performance des investissements immobiliers existants*. Son taux de remplissage de 98% témoigne d’un tissu économique dense. Le quartier capitalise sur une progression de plus de 30 % de son parc immobilier tertiaire sur les 10 dernières années. Preuve que la Métropole de Lyon et son quartier tertiaire proposent un environnement favorable à un marché immobilier particulièrement sain et performant.
+ 360 000 m² à l’horizon 2023
D’ici 2018, le projet Lyon Part-Dieu accentue son développement autour d’un programme actif de rénovations et de constructions neuves durables et économes. 360 000 m² tertiaires, engagés aux standards les plus exigeants (RT 2012 – 20 %, BBC, BREEAM Excellent) vont être livrés d’ici 1 an.
Ils vont offrir aux entreprises une large gamme de solutions d’installation afin d’optimiser le rapport qualité/coût des immeubles et proposer un coût par poste de travail plus faible que dans les immeubles d’anciennes générations.